cosni-tri écrit:
Sortie Vélo du dimanche 3 février : .
Deux points à souligner :
- Pour les retardataires, il n'y a pas d'aller retour sur le remblai mais juste un aller casino-port de pornichet...
ça c'est bien je m'envoie des messages à moi-même
(un réveil tardif m'ayant obligé à prendre ma voiture pour toper le peloton au port de Pornichet...
)
Une sortie qui commence mal donc avec une mise en route difficile à froid. Le peloton est conséquent puisque 23 James sont au rendez-vous et les côtes de St-Marc sont grimpées "normalement".
L'idéal étant lors d'une sortie d'endurance de monter toutes les côtes
assis et sans essouflement... Par la suite (mars) on pourra ajouter une accélération sur les 20 derniers mètres.
Le tour de saint-nazaire est bien passé après s'être fait un peu chahuté par les bourrasques du front de mer.
Pause pipi à Trignac puis le peloton allégé repart de plus belle.
Le tempo imprimé (voire ci-dessous) créera de fait un groupe 2 (de 7-8 james) qui se scindera par la suite selon les deux options de parcours prévus. Nous sommes donc 3 à prendre l'option 75km dont françoisZ qui s'arrête chez lui à St-Molf et bernard que je laisse sur la route de La Turballe. Je rentre donc jusqu'à Pornichet face au vent
(bien fait)
J'ai donc choisi cet extrait d'un bouquin de christian Vaast "Les fondamentaux du cyclisme" :
L'entraînement continu
L'entraînement continu à rythme lent permet de parcourir des distances importantes sans fatigue apparente. Le travail s'effectue entre 60 et 75 % de la fréquence cardiaque maximale, zone dans laquelle lipolyse et glycolyse aérobie sont sollicitées.
Mais, si le rythme est trop rapide, l'acide lactique s'accumule car il n'y a pas de période de récupération, et les jambes deviennent douloureuses à la fin de la sortie.
L'importante dépense énergétique nécessite alors de nombreuses heures de récupération : une sortie de trois heures en endurance basse demande au moins deux jours pour refaire le stock de glycogène alors qu'une sortie comportant du travail intensif entrecoupé de périodes de récupération (entraînement par intervalles) est surcompensé le lendemain.
La répétition de travail continu trop intense sur une longue durée peut conduire facilement au surentraînement.
C'est malheureusement trop souvent l'unique méthode de travail de la quasi-totalité des cyclistes, même des compétiteurs.
Alors à vos cardios !